Je lis un poème V/Deux extraits du Journal d’un génie de Salvador Dali

Cette publication est l’affichage de mon inculture. Cet automne, sexagénaire plus deux ans, après plusieurs occasions, je finis par visiter le musée Dali à Figueras. Comment dire, un choc, se retrouver sur le cul, époustouflé, rire aux éclats, se dire « il a osé », je suis dans son crâne… Tout ça et ce que je ne sais écrire. En tous les cas, je ne savais pas !

A la sortie, enfin juste avant, la traditionnelle boutique des musées, j’achète le Journal d’un génie, pour le titre, le toucher du papier, pensant ne jamais le lire entièrement.

Ce printemps, je l’ouvre à nouveau -bien sûr, j’avais déjà lu, et oublié, les premières pages-. Et il m’embarque. Je prends l’eau, je prends feu, et je ris, et je suis témoin privilégié de son génie.

Alors, inévitablement, je choisis des morceaux fort juteux et goûteux, je les prends en bouche, suis le temps de les lire ce génie…

Olivier Bastide

Poète et photographe

Laisser un commentaire